Deuxième édition du banquet annuel de l'IHT

Le 21 janvier dernier se déroulait à Paris la deuxième édition des célébrations de la décollation de Louis Capet. L’événement, qui s’était confiné à l’aire francilienne l’année précédente, s’est cette fois-ci ouvert à tous les adhérents de l’association, à l’échelle nationale. Étaient présents, en plus des militants, des cadres et des adhérents habitués de nos événements, un certain nombre de sympathisants que nous sommes heureux d’avoir accueillis et que nous espérons revoir.

En amont du repas, notre camarade Ianis s’est spontanément proposé pour réaliser une visite guidée du Paris révolutionnaire, à travers des lieux symboliques et historiques de la capitale, tout en partageant ses connaissances sur la Révolution française. Nous nous sommes ensuite tous retrouvés dans les locaux loués pour l’occasion, afin de nous régaler d’un superbe menu concocté par une équipe de cuisiniers professionnels, composée à la fois d'adhérents et de sympathisants de l'association.

Les convives ont eu droit à une déclicieuse Tarte Tatin Chantilly au mascarpone pour le dessert (Tony Zen / Affranchi)

Si l’événement a été une franche réussite, c’est grâce au travail rigoureux de l’ensemble des organisateurs, cuisiniers, serveurs, plongeurs, décorateurs, ainsi que tous les membres volontaires du service de sécurité, sans lesquels rien de cela ne pourrait advenir. C’est par le sérieux de tous et la discipline de chacun que nous sommes capables, désormais, d’organiser des événements d’ampleur toujours plus conséquente, après la première édition de ce banquet l’année dernière, puis les premières estivales de l’association, en juillet dernier.

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Nous remercions une nouvelle fois tous les adhérents, militants de nos sections et sympathisants présents, dont une large partie a fait le voyage depuis de nombreux coins de la France pour l’occasion. Nous avons à cœur de les revoir au prochain banquet annuel et de convier, chaque année, toujours plus de monde à cette fête républicaine et patriotique où, pour parler comme le grand Rabelais, l’on rit et l’on fait bonne ripaille.