
Notre institut a pour objectif d'armer intellectuellement les militants, afin qu'ils soutiennent au mieux les luttes des travailleurs. Au programme : comprendre le monde à l'aide de la philosophie marxiste, et le transformer.
Les attaques omniprésentes contre la mobilité et les transports – notamment contre le train et la voiture – aggravent la ségrégation spatiale et sociale sur le territoire et participent à la lente désintégration de l'unité nationale de la France.
Très en vogue actuellement, les pratiques de développement personnel s’inscrivent pourtant dans le cadre d’un mode de production qui nous aliène de plus en plus et ne permet aucune transformation conséquente de soi. Elles ne sont qu’une escroquerie dont la classe dirigeante s’accommode parfaitement.
À l’inverse d’un discours dominant qui prône la « décroissance » et condamne nombre de progrès techniques et scientifiques, il faut au contraire nous faire les champions de ces derniers ; car entre nos mains et sous nos décisions, ils peuvent nous permettre de nous émanciper de l’aliénation capitaliste.
Il est nécessaire de réaffirmer le caractère révolutionnaire du « salaire à la qualification personnelle », comme déjà-là communiste. Après 1945, une autre vision de la valeur économique, de la maîtrise sur l’outil de travail et du statut du producteur est imposée par l’action des travailleurs.
En France, ce sont le Président de la République et le Parlement, en édictant et en promulguant les lois, qui semblent nous gouverner. En réalité, un cercle restreint de la classe dominante exerce une influence directe sur eux. Son but – souvent inconscient : pérenniser l'état actuel des choses.
Thomas Sankara, en digne révolutionnaire marxiste, n’a jamais perdu de vue l’essentiel : le combat pour l’émancipation des peuples est tout d’abord un combat de classe, qui implique l’union des masses laborieuses des différents pays contre la bourgeoisie impérialiste.